Thèmes de recherche
Les thèmes de recherche de l’UMR couvrent un gradient de domaines allant des sciences de l’évolution aux sciences de l’environnement en passant par l’écologie évolutive et l’écologie fonctionnelle. Ces thèmes sont développés à différents niveaux d’organisation, depuis l’individu jusqu’à l’écosystème. Les objets d’étude principaux sont les milieux aquatiques et les organismes qui les habitent.
Les caractéristiques particulières de ces milieux offrent une forte diversité de situations environnementales nous permettant d’aborder de nombreuses thématiques tant fondamentales que plus finalisées :
- de fortes contraintes physiques (p. ex., continuité vs. insularité, courant vs. stagnant, lumière vs. obscurité, érosion vs. sédimentation, inondation vs. dessiccation, stabilité vs. instabilité thermique) déterminent des conditions de vie caractérisées par de fortes variabilités spatiales et temporelles (p. ex., prévisibilité vs. imprévisibilité, fragmentation vs. connectivité) ;
- ces milieux sont les récepteurs naturels de matière et d’énergie en provenance de leur bassin versant. Dans un paysage fortement artificialisé, ils deviennent récepteurs de pollutions diverses, agricole, industrielle ou urbaine ;
- leur dynamique induit un renouvellement fréquent des habitats, cette instabilité favorisant leur colonisation par une grande diversité d’organismes, incluant des pathogènes ou des taxons introduits envahissants.
Les caractéristiques particulières de ces milieux offrent une forte diversité de situations environnementales nous permettant d’aborder de nombreuses thématiques tant fondamentales que plus finalisées :
- de fortes contraintes physiques (p. ex., continuité vs. insularité, courant vs. stagnant, lumière vs. obscurité, érosion vs. sédimentation, inondation vs. dessiccation, stabilité vs. instabilité thermique) déterminent des conditions de vie caractérisées par de fortes variabilités spatiales et temporelles (p. ex., prévisibilité vs. imprévisibilité, fragmentation vs. connectivité) ;
- ces milieux sont les récepteurs naturels de matière et d’énergie en provenance de leur bassin versant. Dans un paysage fortement artificialisé, ils deviennent récepteurs de pollutions diverses, agricole, industrielle ou urbaine ;
- leur dynamique induit un renouvellement fréquent des habitats, cette instabilité favorisant leur colonisation par une grande diversité d’organismes, incluant des pathogènes ou des taxons introduits envahissants.